Malgré les avancées de la recherche, le cancer reste la première cause de mortalité au Canada. Je ne suis pas médecin, et je ne suis pas croyant, alors que faire? Quand on m'a parlé de ce défi, j'ai tout de suite décidé d'embarquer.
Le déclencheur pour moi a été le coup de fil de mon ami Mario Lefebvre, qui m’apprenait qu’il était atteint d’un grave cancer. Peu de temps avant, un autre ami très cher, André Roy, nous avait déjà annoncé qu’il était frappé par cette terrible maladie. Le décès de Pierre Tremblay, l’automne dernier, m’avait bouleversé, comme m’avait bouleversée la mort de ma camarade de chez Pixcom, Thérèse Pinho, 6 ans plus tôt, les deux arrachés à la vie dans la force de l’âge.
Il faut savoir que dans la lutte contre le cancer, la recherche fait toute la différence. Comme 40% des Canadiens, j’ai moi aussi eu le cancer. Deux fois, deux cancers dont les gens mouraient il y a vingt ans, qu’on m’a soigné et guéri. Si j’avais eu ces cancers vingt ans plus tôt, je ne serais pas en train de me préparer à ce défi quand même exigeant.
Bien concrètement, vos dons vont aider pour vrai les chercheurs·euses à poursuivre leur recherche pour prévenir, traiter et guérir le cancer.
Du fond du cœur, je vous dis merci d’avance.
Suivez nous